Comparatif formations DNGIN

Salut,

Moi j'ai juste entendu dire, de part des enseignants de l'an dernier (qd j'étais en BTS AGTL) que la licence d'Angers était la plus réputée, où ils sont vachement derrière, ils foutent gavé de boulot, 'fin la pression est énorme.. De même pour Perpignan, une guide nous a fait la visite de la Dépêche à Toulouse et nous en a touché quelques mots et là même constat, beaucoup de pression, ce qui fait qu'à la fin de la formation très peu était là pr présenter le diplome quoi.. ENJOY
Moi j'ai entendu parlé du CETIA par un contact qui avait fait cette formation en 2003, et elle m'avait dit que l'équipe pédagogique était pas mal, mais beaucoup de boulot perso (car la licence fait partie du Mirail, l'université de Tlse II)

Voilàà,
FG

HUMMMM...

T'as vu ça Laurette, on est les meilleurs ;o)))

Sérieusement c'est vrai qu'à l'Université d'Angers, Pôle Universitaire du Saumurois, la Licence DNGIN c'est un boulot monstre...

Des cours pèchent, il y a un manque d'information professionnelle sur les métiers et les conditions de travail mais bon... Globalement, au niveau langues comme au niveau méthodo et surtout au niveau des sorties très fréquentes dans un rayon géographique très large, beaucoup de boulot de recherches et de préparation...
Je crois que c'est à Angers qu'on est le plus sur le terrain, parfois avec des clients (lors des voyages d'études montés en projets par les étudiants: 4 dans l'année: 3 de deux ou trois jours + voyage de fin d'année: une semaine) et le reste du temps dans les cours de méthodo... entre janvier et juin on avait 150 fiches de lieux visités, plus quelques unes encore entre octobre-décembre...

Voilà ;o)

Moi j'ai entendu dire que Clermont était pas mal aussi. Et j'ai failli postuler pour Angers enfin Saumur.

En revanche, j'ai eu des critiques sur celle de Perpignan.

En ce qui concerne le CETIA, je trouve que cela va globalement. Nous sommes pas mal sur le terrain (le dernier remonte à mercredi avec les australiens) et on doit faire un week end aussi de deux jours par groupe de 2. On va aussi aller pas mal sur Toulouse pour compléter les cours.

La où cela pêche à mon sens, c'est les langues : en allemand par exemple, on ne sait toujours pas quand on aura des horaires en plus.

Oui, c'est valorisant, et je crois que dans le "milieu", si on peut l'appeler ainsi, la licence d'Angers (enfin maintenant préparée à Saumur) est plutôt vue de manière positive.

D'accord avec toi, Olivier, il faut reconnaître que même s'il y a des soucis (notamment au niveau administratif), on a eu accès à des cours qui ne sont pas dispensés dans les autres formations... Et ces 1/2 journées ou journées passées sur le terrain (ainsi que les petits voyages en cours d'année) permettent d'avoir une idée concrète de ce qu'est notre métier.

Je pense notamment aux cours "Parcs et Jardins", "Arts de la table", qui peuvent paraître un peu "superflus" au début, vu tout le travail que l'on a déjà dans les autres matières. Mais qu'est-ce que ça peut être utile quand on va bosser dans des lieux comme Versailles ou les châteaux de la Loire !!! Ce ne sont que des exemples... Après, on se dit que l'on a vraiment pas à regretter notre formation à l'ESTHUA.

Cela ne signifie pas que l'on dénigre les autres facultés, l'enseignement est différent, c'est tout. Et je crois aussi que le travail personnel fourni paye un jour ou l'autre.

PS : Mon message faisait référence au post d'Olivier et j'ajoute juste que j'étais à l'ESTHUA (Angers) entre 1999 et 2001, et qu'il est fort possible que cela ait évolué depuis...

Pour les voyages d'étude, on proposait aux étudiants étrangers de venir avec nous pour rentabiliser les frais de transport, notamment. Des liens d'amitié se créaient, c'étaient de beaux échanges culturels super enrichissants !!!

Nostalgie, quand tu nous tiens ;o)

C'était pareil en 2004-2005: pour les voyages d'études (Paris, Val de Loire, Bretagne, Provence) on prenait les étudiants anglophones du parcours tourisme en anglais à l'ESTHUA: on avait très souvent des sri-lankais et indiens, mais aussi des chinois et des nord-américains.

Au Cetia, il y a effectivement une bonne équipe de profs et de professionnels, qui donnent bcp de techniques, qui assurent un bon encadrement. Mais la formation étant en une année, forcément il y a du travail perso à fournir, comme partout. L'avantage du Cetia, enfin du moins c'est comme ça que je l'ai vécu, il faudrait voir avec les autres Fuxéens du moment, c'est que justement ça se passe à Foix, dans un cadre tranquille, et donc dans une ambiance que je qualifierais de familiale. Les profs sont très accessibles et dispos. On a fait pas mal de sorties en midi-pyrénées, bcp de mises en situation avec différents publics, c'était réellement enrichissant.
La pire formation dont j'ai entendu parlé, (et pour avoir fait l'entretien d'entrée) c'est celle de Narbonne. Mais difficile de juger lorsque l'on y a pas été. Et a priori pour l'instant personne du forum n'y a fait son DGIN.

Merci Natacha pour ce tableau récapitulatif très bien fait.
A noter que l'université de Beauvais a une formation pour les personnes handicapées.

je fais ma formation à clermont, bcp de pression aussi, je pense que ce n'est pas due a telle ou telle université, mais plutot au fait que la formation est intense, ou qu'on la fasse.

à clermont ce qu'il y a de bien c'est qu'on fait un voyage scolaire à l'etranger en fin d'annee, que nous montons nous meme et que nous proposons a d'autres etudiants (si possible) que nous considerons comme nos clients et à qui nous faisons des visites guidées.
Cette annee nous partons à Saragosse en Aragon.
l'autre avantage de clermont, le prix, pour les formations initial qui est du cout de la fac, et non de 4000 euros comme à paris ou perigueux il me semble.

Je sais que Nice (lycée hotelier Paul Augier) propose la formation GIR (BTS tourisme)

Paul Augier a une très bonne réputation, de bons profs et il y a beaucoup d'entreprises qui proposent des stages (Voyages Mathez à Nice, Parfumerie Fragonard à Grasse, Office Monégasque Maritime à Monaco par exemple)

Il ya 2 voyages (un par an) un en France et un à l'étranger, monté par les éléves.

Langues : anglais-allemand, anglais-espagnol, anglais-italien, anglais-portugais.

10 élèves en moyenne à chaque sessions + 15 en formation continue

Stages :
Pour les 1res années, des stages de 3 semaines en cours d'année et de 8 semaines en fin d'année sont organisés.
En 2e année, un stage en entreprise a lieu en cours d'année.

Ensuite c'est l'Université de Nice Sophia Antipolis qui poursuit pour le GIN.
Les cours ont lieu en partie à l'UFR Lettres, Arts et Sciences Humaines de l'UNSA, en partie au Lycée Paul Augier

22 étudiants : 5 places sont réservées à des étudiants ayant réussi un BTS de Tourisme, 5 autres pour des étudiants issus d'un DEUG minimum ; les autres places sont pour des publics de formation professionnelle continue

Pour le stage de guidage de 2 mois oblgatoire, les mêmes entreprises que ci-dessus entre autres recrutent.

Les professionnels sont très impliquées dans les 2 formations.

Je confirme que la réputation d'Angers/Saumur n'est plus à faire ! Il est clair que c'est de loin la meilleure formation DNGIN (mais moi, j'ai fait celle de Lyon).

La formation de Lyon n'est ni parmi les meilleures, ni parmi les pires (on trouve toujours pire !). Elle souffre de problèmes d'organisation, de concertation, de fonctionnement, mais comme dans de nombreuses autres formations universitaires professionnelles ("professionnel" et "universitaire" ont parfois du mal à cohabiter ).

Côté contenu, je suis trop "ancien" pour en parler et en tant qu'ex-enseignant de la formation, je n'ai pas le point de vue étudiant. Et puis je crains de manquer un peu d'objectivité ...

Cela dit tout de même pour nuancer, le nombre de guides intervenant dans la formation de Lyon est assez important. Les cours d'allemand et d'espagnol sont d'ailleurs assurés par des GIN.

he bien moi on m'a pas dit du bien de la formation d'anger !
tres competitive, qui se prend pour l'elite etc....ca ne m'a pas donner tres envie d'y aller.
Rien que le dossier à remplir, c'est le pire (avec celui de paris)

mais ce n'est que detail...je ne connais pas plus.

Pour répondre à Virginie33 : Personnellement, je n'ai pas la sensation d'appartenir à une élite sous prétexte que j'ai préparé le diplôme de guide à Angers... Demandons à Olivier ce qu'il en pense, étant donné qu'il a, lui aussi, obtenu sa carte là-bas... Par contre, la compétition comme tu dis, tu la retrouveras certainement à un moment ou à un autre dans le métier, sous forme de concurrence !!! Sans doute aussi au coeur d'autres professions, il y en a dans tous les secteurs. La vie est une forme de compétition, quoi que tu fasses, il faut "se battre" à moins d'être né(e) avec une cuillère en argent dans la bouche !

Quand on arrive sur le marché du travail, les portes ne s'ouvrent pas comme par magie, enfin, je suppose que tu t'en doutes...

Petite question : tu dis qu'"ON" ne t'a pas dit que du bien de cette formation, (je pense qu'aucune n'est parfaite de toute manière, et qu'on continue à se former tout au long de notre parcours professionnel) soit, mais de qui tiens-tu ces informations ? Est-ce de quelqu'un qui a étudié à l'ESTHUA ?

Concernant la sélection sur dossier puis sur entretien, je trouve plutôt que c'est une bonne solution...

Je n'ai pas eu mon diplôme du 1er coup, mais je ne regrette en rien mon "redoublement", car j'avais obtenu 7 modules sur 12 la 1ère fois. Avec le recul, je sais que ça m'a permis de mûrir mon projet et de gagner en maturité tout court !!!

Comme le dit Laurette, il ne me semble pas que les lauréats du DNGIN de l'ESTHUA soit des surhumains flottant au dessus du lot, comme une bonne crème... La formation est exigeante, soit, le niveau doit être bon, soit, mais ensuite ce sont les personnalités qui font le ressenti, pas toujours la formation en elle même... Et puis selon les années les perceptions peuvent ne pas être les mêmes... Je connais une paire d'anciens étudiants de la formation un peu "aigris" qui n'en disent que du mal... Personnellement j'ai passé une super année très rude mais très enrichissante, pas une torture ni un calvaire ;o)

Toute formation a ses qualités et ses défauts, et celle de l'ESTHUA n'y échappe pas, même si elle a effectivement une bonne réputation.

Maintenant il me semble pas être sorti de la cuisse de Jupiter. De plus, si l'ESTHUA a en général une très bonne réputation, cet IUT étant l'un des premiers à avoir intégré le tourisme à l'université, dans le Nord en tout cas on ne connaît rien de l'Université d'Angers... J'aurais pu sortir de Trifouillis-les-Oies, ça aurait été la même chose ;o)

Olivier a écrit:

Trifouillis-les-Oies

Y a quoi à visiter là-bas ?

Hummm, faut pas le dire trop fort sinon tout le monde y viendra, mais il y a une très belle église romano-gothico-byzantino-constructiviste ornée de groupes sculptés maniéristes signés d'une croix par Eudes-Marie de Montgenous, fils de Louis-Edmond, fabuleux architecte du silo à Grains de Grahouec-sur-Glaviouze.
bis

Pour rebondir sur ce que disait Olivier plus haut, moi aussi, je connais des gens, qui, des années après, en veulent encore à l'ESTHUA, n'ayant pas digéré certaines remarques de la part des professeurs ou peut-être même des notes qui leur ont déplu.

Mais "bon sang", évidemment, sur le coup, c'est pas toujours facile à accepter, c'est vrai, mais il y a un moment où il faut savoir avancer et laisser des choses de côté, reconnaître ses erreurs et également que tout cela fait avancer, progresser. C'est peut-être même une manière de prouver qu'on a réussi malgré tout ! On travaille dans un domaine où tout ne se déroule pas toujours comme on le voudrait, où il faut aussi savoir se remettre en question de temps à autre, mais on a tout de même une chance inouïe on est passionné par ce métier. Et des critiques de clients, il y en toujours (bonnes ou mauvaises) !


Sinon, promis, Olivier, "motus et bouche cousue", on le répètera pas, !!!

Ne le prend pas comme une attaque laurette.
je ne connais pas l'esthua !
Quand je dis "on" je parle de personnes du metiers. Qui ne parlent pas des etudiants qui y vont mais de ceux qui travaillent, ou travaillaient, je ne sais pas, la bas.

Et, oui je sais que les portes ne s'ouvrent pas par magie, merci...je travail aussi dans ce milieu.
Excuses moi si je t'ai offensé, ce n'etait pas la peine d'etre vexée.

Salut à tous, je suis un nouvo.

Message à Virgo.

Je vois que tu as passé le dngin à perpignan, fodrait ke tu me dises en kelle année parce que je pense que la formation s'est drôlement améliorée.

A bon enetendeur
salut

Bonjour @ twa,

Mci pr ton comm! Tsé, ici on peut rédiger ;o)

Sans rire Balootas , pitié pas de style "nouvelle orthographe" ;o))) Sois le bienvenu en tout cas, en espérant que tu puisses trouver ici des éléments qui te satisferont, et pourquoi pas pas apporter de ton eau au moulin ;o)

Autrement le but ici n'est pas de descendre des formations, loin de là ;o) Que peux-tu nous dire de ton expérience DNGIN à Perpignan?

Salut et désolé cher collègue pour mon style textoïque,

Mais ça m'a un peu ernervé de savoir que des gens descendaient la formation du DNGIN de Perpignan/Narbonne.

Je pense qu'il ya quelques années (pour en avoir parler avec d'anciens pensionnaires de la formation) c'était vraiment délicat.
Mais j'ai passé ma formation en 2007-2008 et je puis vous assurer que j'ai trouvez cette formation adpatée.
I-Les courts d'histoire de l'art était non pas fait en direction d'étudiants mais bien en direction de futurs guides.
II-Je crois qu'avec les profs de guidage, on a fait deux mois, trois maximum de théorique et après en avant le terrain+1 semaine en voyage d'application en Sicile.


A bon entendeur salut

Quelqu'un a fustiger quelqu'un ?
De plus, je ne crois pas qu'on ai parlé de la formation de Perpignan ni remis en cause sa qualité, et ce pour aucune formation de DNGIN.

Bonjour Balootas,
je pense que personne ici n'a descendu de formation.
Simplement,la libre expression d'un forum permet de critiquer tel point ou tel aspect d'une formation .
Je pense que tu fais allusion au post de Virgo,actuellement prof à Sydney.
Il disait dans son post beaucoup de bien des cours d'histoire de l'art,mais semblait assez critique par rapport aux cours pratiques de guidage.
Je ne sais pas quand il a passé la formation,mais le prof de guidage a pu s'améliorer,et c'est tant mieux.
D'ailleurs tu reconnais toi-même que beaucoup d'anciens de la formation
étaient très critiques par rapport à ce cours de guidage.
"Je pense qu'il ya quelques années (pour en avoir parler avec d'anciens pensionnaires de la formation) c'était vraiment délicat"
Par curiosité,je suis allé sur le site de l'université pour voir le programme (que je n'ai pas trouvé),mais j'ai trouvé ceci assez peu explicite cependant ..... :
http://www.univ-perp.fr/fr/UFR_et_instituts/ufr_de_lettres_et_sciences_humaines/les_formations_de_lettres_et_sciences_humaines/les_formations_nationales_habilitees/le_diplome_national_de_guide_interprete_national_d_n_g_i_n.html